Se prepare a partir (Clos)

Fitz apres avoir quitté la piste d entrainements, se dirigea vers la salle d arme. Il marchait sans faire le moindre bruit. IL regarda les nombreuses armes accroché au mur, elles rivalisaient toutes de splendeur. Meme s il est dur de trouver quelque chose qui sert a tuer de beaux. Il admirait davantages l ouvrage des maitres forgerons que la facon dont on pouvait les utiliser.

Tres vite, il remaqua les nombreux gardes que contenait cette piece. Il sourit interieurement. Ce devait etre des gardes ayant commis une faute, car personne ne veut s occuper d une salle ou il ne se passe rien, et surtout une salle vide. Fitz inclina la tete pour saluer les gardes.

Apres avoir traversé une suite de piece, stockant de nombreuses armes, il arriva devant un homme de carrure assez importante. IL avait le cou d un taureau. Fitz le regarda avec un sourire qu il ne lui repondit pas.


Bonjour messire, j aimerais prendre quelques armes, la Reine est au courant, elle est d accord. Elle n a pas pue me faire une missive apres le drame qu il s est passé dans sa chambre. J en suis navré, mais vous devrez me croire sur ma seule parole et mon air angelique.

Il venait de mentir sans honte. Il regarda l homme dans les yeux et lui sourit. Il n avaispas bouger, rien de ce que pouvais dire Fitz ne semblait l interesser. Meme a la mention du massacre dans la chambre de la reine, il n avait pas tilté. Il s en fichait certainement.

Fitz changea donc de tactique. Il detacha sa ceinture avec ses deux foureaux. Il degaina les deux epées courtes que ceux ci contenaient et les posa sur la table. A son geste, de nombreux gardes avaient posés la main sur la garde de leur epée, ou avais avancé d un pas. Fitz decida de faire comme s il n avais rien remarqué. Il continait de fixer l homme dans les yeux.

Bien, vous m avez l air d etre le genre d homme locace que j aime, alors je me permet de stopper votre flot incessant de parole pour vous enoncez les deux trois petites choses dont j aurais bessoin :
Il me faudrait deux nouvelles epées courtes, bin affutés et de bonnes facture si possible, un arc ainsi qu un carquois, vingt metres de cordes, ainsi que quatre, non, six dagues. Et si vous avez en stock un stylet ainsi qu un poignard, je suis preneur. Il me faudrait aussi une armure de cuir souple, tres souple et tres resistante.

L'homme n avais pas bougé et regardais Fitz avec un regard vide. Lentement, il posa les mains sur le comptoir et regarda Fitz dans les yeux avec un petit sourire malicieux.

Alors comme ca mon bonhome, on se prepare pour la guerre. Tu y vas seul a voire ce que tu prends....J imagine que je ne dois rien dire non plus a la Reine ou a son fils si on me demande quelque chose.

Fitz sourit en entendant la voix caverneuse et rauque de l homme. Lui qui pensait qu il s agissait d'un soulard qui devais avoir faits quelque chose de tres gracve pour etre envoyé ici en fut pour ses frais. Cet homme avais l air bien plus malin que beaucoup d homme qu il avais rencontré.

Quand je serais de retour, je vous offrirai un verre. Permettez moi d'insister, mais l armure, je la voudrais noire.

L'homme reprit son attitude implaside et regarda Fitz dans les yeux. IL hocha la tete d'un mouvement pratiquement imperceptible et se dirigea vers une autre salle. Il revient un quart d'heure apres, avec un gros paquet.

Je vous ai mis tous ce que vous m avez demandé et ce que vous avez oublié. J ai rajouté une cape tres legere et qui protege tres bien du froid, un briquet a amadou pour allumer mais sous les ailes d'un dragon en plein vol. Ainsi que trois petites choses qui pourais etre utile...

Fitz hocha la tete et regarda autour de lui pour voire si aucune oreille indiscrete ne trainais. Voyant personne, il remercia l'homme d'un mouvement de tete et prit le paquet. Maintenant, il ne lui restait plus qu a s acheter des vetements pour son voyage et voler un cheval dans les ecuries de la reine et il pourais partir.